• Recensions de mes livres

    "Noyer au rêve"

    Les recensions ci-dessous sont signés par le critique littéraire Jean-Paul Gavard-Perret: 

    Luminitza C. Tigirlas, Noyer au rêve | lelitteraire.com

    Le semainier de Luminitza Tigirlas - Le Salon Littéraire

     

    "Noyer au rêve" lu

    par Jean-Pierre Longre:

    http://livresrhoneroumanie.hautetfort.com/tag/luminitza+c.+tigirlas

     

    par Valérie Canat de Chizy: 

    https://www.dailleurspoesie.com/chroniques-de-valeacuterie-canat-de-chizy.html

     

     

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    Le numéro 140 de la Revue Alsacienne de Littérature vient de paraître et , parmi d'autres poètes, j'ai l'honneur et le plaisir d'y publier cinq poèmes inédits à la rubrique "Voix multiples".

    Toute ma gratitude va vers Maryse Staiber pour sa lecture de mon livre de poésie "Le dernier cerceau ardent" paru aux éditions du Cygne en 2023 avec un dessin de couverture de Doïna VIERU. Sa Note de lecture fait partie du même numéro 140 de la Revue Alsacienne de Littérature. 

    "Le dernier cerceau ardent" lu par Maryse Staiber

     


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    Merci du coeur au poète Florent Toniello de Luxembourg pour son regard attentif  posé sur mon recueil et pour sa voix exquise donnée  à mes textes.

     Les deux extraits de mon livre  " Le dernier cerceau ardent" en lecture audio se trouvent aux pages 30-31.

    à lire et à entendre sur ACCROCSTICH:

    https://accrocstich.es/index.php?post%2F2023%2F10%2F13%2FLe-Dernier-Cerceau-ardent&fbclid=IwAR10xHjcr4SFmI6zCstPITiawSkWegSktdJIlBSU8LzJxmkXx4OjX5B0XDg


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    Didier AYRES , dans la revue "Le capital des mots",

    me fait l'honneur et le plaisir  de se pencher

    en toute subtilité sur Le Pli des leurres 

    et de saisir "l'oscillation entre plusieurs identités"

    d'Oète ou Odette, qui, elle, est bien la narratrice à voix multiples

    de mon livre de fiction, paru chez z4 éditions :

     

    Didier AYRES lit "Le Pli des leurres" 

     

     

     


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    La Revue  Alsacienne de Littérature, n° 132, décembre 2019,

    me fait le plaisir non seulement de publier

    des extraits de la  "croisure" de mon récit inédit ENCRE D'HIEBLE, p. 58-59,

    mais aussi une Note de lecture

    sur mon essai "Fileuse de l'invisible - Marina Tsvetaeva" , p.133-134,

     

    Je remercie de tout coeur Maryse Staiber pour sa lecture,

    ainsi que le comité de lecture de cette revue qui a déjà accueillit mes poèmes dans les n° 127 et 130.

     

     

     

    "Fileuse de l'invisible - Marina Tsvetaeva" lu par Maryse Staiber

    "Fileuse de l'invisible - Marina Tsvetaeva" lu par Maryse Staiber

     

     


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    Une première Note de lecture de mon livre de poésie "Ici à nous perdre" paraît sur le site Le littéraire,  merci à Jean-Paul Gavard-Perret pour sa lecture: 

     

    http://www.lelitteraire.com/?p=53777

     

     

     

    Luminitza C. Tigirlas, Ici à nous perdre

    Les ailes cassées

    Lumi­nitza C. Tigir­las met en évi­dence ce qui s’engage dans la dis­pa­ri­tion de l’Amie : “Ma bouche hurle / — aphone — / sans esqui­ver le halè­te­ment de la mori­bonde. // Vapeurs de vocables / rejoignent une échelle invi­sible // A ses pieds / je m’évade par le sang d’une monade”. Puis le deuil arrive et la nuit ne s’arrête pas. Rien ne peut plus se lier et la dis­pa­ri­tion s’étend au reste de l’univers. 
    Pour autant, Lumi­nitza C. Tigir­las écrit comme si rien — ou presque — n’était déjà arrivé. C’est une manière de ras­sem­bler les époques et les anti­no­mies dans un tra­vail décons­truc­tion et de ravi­ne­ment remisé de manière provisoire.

    Existe là l’imparable d’une dou­leur dans des ailes du désir à la fois tor­dues et déployées en un mou­ve­ment d’oppositions. La poé­tesse fait jaillir des formes issues de pro­fon­deurs. Celles de l’arrachement et du chaos et non sans un bras­sage éro­ti­que­ment impli­cite mais, dou­leur oblige, rien n’en sera dit.
    Le départ oblige l’auteure à une reprise et une insis­tance là où le fémi­nin de l’être se joint à une force quasi phal­lique. La den­sité devient insis­tance de la vie contre la mort dans des souffles et expi­ra­tions  qui vou­draient dépla­cer les lignes du temps. La han­tise d’une “sui­vante” est hors de sai­son. “L’essor s’éparpille / La per­cep­tion se plie”.

    Qu’ajouter ? Jamais le titre de la col­lec­tion où paraît ce livre n’aura autant mérité son nom.

    jean-paul gavard-perret

    Lumi­nitza C. Tigir­las, Ici à nous perdreEdi­tions du Cygne, coll. “Le chant du cygne”,  Paris, 2019, 72 p. — 12,00 €.

     

     

     


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