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    "Le vent s'émeut en vertu" est le titre que j'ai donné à un ensemble de treize poèmes qui vient de paraître dans la revue "Traversées" N° 89, 2018, p. 39-51. Toute ma gratitude à Patrice BRENO et au Comité de lecture de cette remarquable revue qui m'honorent en me publiant pour la deuxième fois après m'avoir accueillie dans le N° 84, 2017, p.134-140 avec l'ensemble de poèmes "Chevauchée au gluau". Notre histoire se tricote (se fait couverture aux nœuds) avec des mots noués aux fils des Parques, les Tria fata : Morta est peut-être la première à être éprise de poésie... 

     

     

     

     

    Le vent s'émeut en vertu

     

     

     

     

     

    Le vent s'émeut en vertu

     

     

     

    La suite de cet ensemble de  mes poèmes

    est à lire dans la revue "Traversées", N° 89, 2018, p. 39-51.

     

     

     

     

     

     


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    ...être dans la forge des éditions de Corlevour avec Marina Tsvetaeva!
     

     

    J'en suis honorée et particulièrement touchée,

    merci de tout coeur à Réginald Gaillard

    et au Comité de lecture de cette maison qui accueille mon essai

    et j'attends avec impatience avril 2019.

     

    "Fileuse de l'invisible--Marina Tsvetaeva"

    viendra donner plus de corps à mes tentatives d'approcher le sacré

     
    en interrogeant le sacrifice de l'amour au nom de la création 

    dans la suite de la parution de mon

     
    "Rilke-Poème élancé dans l'asphère" (L'Harmattan, 2017)

     

    Le troisième poète de mes rencontres

    dans ce cheminement sera le Roumain Lucian BLAGA.

    D'ailleurs tout avait commencé avec lui et

    le Maître Manole de la légende roumaine du même nom...

     

     

    Fileuse de l'invisible - Marina Tsvetaeva (à paraître chez Corlevour)

    (couverture provisoire)

     

     

     

    https://www.facebook.com/reginald.gaillard?__tn__=%2Cd*F*F-R&eid=ARDVhwX4A3pQQbPJ498PZQsKVVyN19g6KCMm6_QkxdbpNppxdx8jm-xLjtV4hSQf0OpIKQvMji-LomHi&tn-str=*F   

     

     

     

     

     


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    Mes très chaleureux remerciements à Julien Alliot, 

    Agrégé d’anglais, docteur en

    littérature britannique, que je ne connais pas personnellement,

    pour sa lecture généreuse et fidèle

    à mon désir de transmission de ce qui a fait pour moi

    rencontre avec la poésie de Rainer Maria Rilke.

    Son texte a été accueilli dans le cadre du Cabinet de lecture

    de « La revue Lacanienne », n° 19, 2018 (1), revue que je  remercie aussi

    pour l’honneur qu’elle me fait de s’intéresser ainsi à mon écriture.

     

    Voici ce texte en accès libre sur Cairn.info:

    Luminitza C. Tigirlas, Rilke-poème. Élancé dans l’asphère

     

     

     

     


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    Pour Doïna VIERU   et …le jour de 23 octobre

    lorsque son chant a donné le ton à sa peinture

     

     

    Leurres des blancs      Ensommeillées

    lueurs des jours premiers

    Ce temps est gong

    L’écru s’émince bredouille

     

    L’autre continent dort

    Deux océans volent    —une berceuse—

    Les flots se la partagent

    dans ta main

    où les couleurs débordent d’un ici lointain

    où la neige de l’enfance est ronde

     

    (Luminitza C. Tigirlas, Un vingt-trois octobre à nous,

    dans  Poèmes de la soif matinale, Série d'inédits, 2018.

    @ Tous droits réservés ) 

     

     

    ...où la neige de l’enfance est ronde

     

     © Doïna VIERU

     

     

     


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    "Noyer au rêve" présenté dans "Poésie sur Seine", 98   

    Image de couverture: peinture de Doïna Vieru 

     

     

    Sous le soleil ébouriffé d'hier, 13 octobre, j'ai reçu la revue "Poésie sur Seine", son numéro 98 de septembre 2018.

    Le feuilletant distraitement, j'ai eu la joie de découvrir sur la page 40 mon propre poème "Elle appelle de tout son corps: pluie!"               

    Ma reconnaissance va aux HOMMES qui m'ont inspiré ce poème et à l'équipe de rédaction qui m'a fait l'honneur de le publier parmi les textes d'autres auteurs.  

    *** 

    Et aussi je remercie très chaleureusement Antoine de MATHAREL pour sa lecture fine de mon recueil "Noyer au rêve", (éditions du Cygne, 2018, préface de Xavier Bordes, image de couverture: Doïna Vieru)   dans L’actualité poétique par les livres, du même numéro 98 de "Poésie sur Seine", pages 108-109:

     

     

    Poésie sur Seine, 98: deux surprises

     

     

    Antoine de MATHAREL, "Poésie sur Seine", N°98, septembre 2018, pages 108-109.  

     

     

     

     

     

     

     


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    La Pierre Amour       ...avec Xavier Bordes

     

    Sur l'étendue la solitude hâte ses caravanes

     

    Au loin dans l'air tremblant de l'avenir

    Miroite le puissant pressentiment de l'eau

    L'oasis avec sa noria où tourne un vieil âne

                à n'en plus finir

     

    Aveugle comme toi dans ce monde profane 

    Il verse infatigable et lent la fraicheur à pleins seaux

             Sans un pleur et sans un soupir

     

    A  chaque pas quand il balance le museau

           Sa tête bourdonnante s'auréole

    - Grâce au soleil qu'il ne voit point - d'un soleil de paroles

     

          Il trottine dans le noir sans attendre de récompense 

                           Sans plus savoir même s'il pense;

         L'axe de bois rythmé grince comme un oiseau...

     

     

    Xavier Bordes, "Portrait du poète en âne",

    in La Pierre Amour, Gallimard, 2015, p. 173.

     

    ©Éditions Gallimard

    « Tous les droits d’auteur de ce texte sont réservés.

    Sauf autorisation, toute utilisation de celui-ci autre

    que la consultation individuelle et privée est interdite ». 

     

     

     

     

     

     

     


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    Les Sonnets à Orphée    ...avec Rainer Maria Rilke

     

    Sois toujours mort en Eurydice – et plus chant que
    jamais
    remonte, et plus louange, ainsi remonte au pur rapport.
     

    Ici, chez les passants, sois, au royaume où tout prend fin,
    sois un verre qui sonne et dans le son déjà se brise.
     

    Sois – et sache à la fois la condition qu’est le non-être,
    l’infini fondement qu’il est de ta ferveur vibrante,
    et donne à celle-ci, unique fois, pleine existence.

     

    Rainer Maria Rilke, « Les Sonnets à Orphée II »,

    in Œuvres poétiques et théâtrales, Gallimard, 1997, p. 607.

     

     

    PS: Extrait de mon essai "Rilke-Poème. Elancé dans l'asphère",

    L'Harmattan, 2017. Voir:

     

    http://luminitzatigirlas.eklablog.com/rilke-poeme-a147912408  

     

     

     

     

     

     


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