• l’air sur la peau descend de la montagne

     

     

     

     

    la solitude d’un poème   ...avec François Coudray


    l’enfance n’est pas un refuge

     

    mais elle desserre la corde étranglée du soir sur la ville

     

    avec la nuit les mots      à force d’essayer tissages incertains béances abandons

     

    dénouent le chant

     

    l’air sur la peau descend de la montagne

     

    le dos contre la pierre la nuit

     

    la ville

     

    respirent

     

    la lumière tremblante des phares

     

    la solitude d’un poème

     

    François Coudray, l'enfant de la falaise, L'Harmattan, 2018, p.31.

     

     

     

     

     

    « Pour survivre ...aux meutes des cristaux sibyllins "Fureur d'ascite" - ma nouvelle »

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